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En matière d’automatisation de processus, deux tendances sortent du lot : le BPM (Business Process Management) et la RPA (Robotic Process Automation). Dans les deux acronymes, le « P » se traduit par « Process ». Cependant, ce terme a plusieurs significations.
Dans le cas du BPM, il est traduit par « processus », au sens "flux d’activités". Dans RPA, il a la signification de « traitement », au sens « faire, opérer ». On pourrait traduire respectivement BPM par « gestion des processus métier » et RPA par « automatisation robotisée des traitements ». Dans un cas, l’orchestration des processus, dans l’autre l’automatisation des tâches.
A l'origine, la RPA a pris son essor dans le secteur financier. Ces entreprises disposent souvent d'une grande quantité de données qui sont conservées dans les systèmes existants et c'est un cas d'utilisation privilégié pour la RPA.
En effet, c’est quand il y a beaucoup de données au sein des applications du poste de travail que, lorsque leur manipulation est robotisée, l'impact en termes d'économies, d'efficacité ou de réduction des risques est le plus évident. Du coup, le retour sur investissement est facilement démontré, ce qui accélère son adoption. Le BPM et la RPA ne sont pas en compétition, mais sont complémentaires.
La RPA est beaucoup plus rapide à comprendre et à mettre en œuvre, de sorte que les organisations sont plus enclines à l'adopter. Le BPM offre de grands avantages, mais il faut généralement du temps pour le comprendre et plus de temps pour le mettre en œuvre. Le BPM est également essentiel pour inciter les gens à travailler ensemble : il consiste à cartographier un processus, à automatiser son fonctionnement et à chercher des opportunités d’optimiser ce comportement.
Autrement dit, c'est du court terme par opposition à la réflexion à long terme. La RPA est tactique, là où le BPM est stratégique. D’un côté, on facilite l’intégration avec les systèmes existants sans avoir à les faire évoluer.
De l’autre, on s’inscrit dans une démarche où les processus sont conçus pour fonctionner de bout-en-bout, dans l’objectif de supporter la mise en œuvre de la stratégie de l’entreprise. C’est la raison pour laquelle ITESOFT et Contextor ont décidé de s’associer pour offrir une couverture fonctionnelle où ces deux dimensions fortement complémentaires accélèrent la mise en œuvre de la transformation numérique, pour automatiser de nouveaux processus métier en capitalisant sur le patrimoine informatique.
Chef de Produit
Spécialiste de l'automatisation processus depuis 25 ans, membre actif des travaux sur BPMN au sein de l'OMG, François est un véritable porte-parole pour expliquer et vulgariser les apports de la plateforme auprès du marché et des analystes.
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